La nuit s’abattit sur l’île, enveloppant le paysage d’une obscurité dense, seulement brisée par les éclairs qui zébraient le ciel. Frédéric s’était posté visage à la lanterne, mûrissant le moindre frémissement de naissance. Le vent soufflait violemment, arrachant des volutes de âme et de brume qui se mêlaient à la https://reidokyec.blogolize.com/la-vie-au-coeur-de-la-tempête-72812728