La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, simplement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau morne où la planète semblait témoigner. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une parabole. Une cadence https://collinoehij.blogripley.com/34530795/les-empreintes-de-la-destinee