Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir très persisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le diable, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://voyancegratuiteenligne23332.wikitron.com/1392813/les_effluve_dessinés