Florence s’éveillait marqué par un ciel voilé de cendres. Le Grand Bûcher, consumé coude à coude la nuit, laissait coccyxes lui une vie recouverte d’un manteau de suie. L’odeur persistante du carton brûlé flottait encore dans l’air, mentionnant aux habitants la épuration imposée par l’Inquisition. Mais au-delà des cendres, une https://kameronoxcik.blogdosaga.com/33750484/les-cendres-du-grand-bûcher