Chaque nuit, la ville produisait des vibrations muettes, inaperçues des capteurs performants. Ces forces, enregistrées par le sismographe affectif, révélaient des flux intenses de perçus collectifs, généralement dissimulés sous le calme apparent de le support urbaine. La voyante, connectée à ce réseau délicat, lisait les icônes vibratoires notamment des formes https://dantesoerd.actoblog.com/34892018/sismologie-de-l-invisible