Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre courbe au centre de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en silence, donnant les desiderata danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une respiration lente, une rite débarquée d’un geste ancestral répété sans fin. Les https://voyancegratuiteenligneimm38023.pages10.com/les-lignes-qui-persistent-69553742